Destin secret pour les nouvelles mères : Nightbitch révèle tout

Destin secret pour les nouvelles mères : Nightbitch révèle tout

Amy Adams does indeed have dog nipples in the film adaptation of « Nightbitch. » In the book, there are six, but in the movie, there are eight. The story follows a mother, played by Adams, who feels like she is turning into a dog during the challenging early days of motherhood. The film, directed by Marielle Heller, carefully navigates the line between body horror and internal conflicts surrounding motherhood. The focus is on the challenges of motherhood rather than just the physical changes.

The protagonist, known as Nightbitch, represents the intense maternal ennui that many mothers experience. She grapples with the decision to leave her job in the arts to care for her son, while her husband is often absent due to work commitments. The film explores themes of identity, motherhood, and the sacrifices women make for their families.

As Nightbitch embraces her transformation into a dog, she finds liberation in breaking societal norms and embracing her desires. The film delves into the complexities of motherhood, womanhood, and the unspoken knowledge that women carry with them. The depiction of carcasses left on Nightbitch’s doorstep symbolizes the violence and transformation that come with motherhood.

Nightbitch’s art show in the film showcases a carousel adorned with animal pelts, symbolizing the transition from childhood to motherhood. The film explores the power of toys as metaphors and the creation of a world from childhood memories. Through Nightbitch’s journey, the audience is invited to reflect on their own experiences of motherhood and womanhood. Sur les murs se trouvent des portraits des femmes qui l’ont aidée à retrouver sa voie dans l’art : les mamans du quartier et aussi la bibliothécaire (Jessica Harper) qui lui prête un livre sur la sorcellerie, détaillant les pouvoirs mystiques que les femmes ont démontrés au fil des siècles. (Quelque part, il doit y avoir une section dans le livre qui explique ce qui lui arrive, pense Nightbitch, dont l’histoire est devenue ce livre pour de nombreuses mères.) La révélation du portrait de la bibliothécaire plus âgée – donatrice du texte ! Gardienne maternelle du savoir ! – a été le moment qui m’a serré la gorge.

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## L’art comme moyen de capturer différentes perspectives

L’ « oubli massif » qu’une mère éprouve lorsqu’elle passe brusquement de l’enfant au parent n’est pas aussi mis en avant dans le roman, mais devient une idée centrale dans le film, où les mamans parlent des « temps d’avant ». Des flashbacks montrent la mère mennonite de Nightbitch chantant avec son église, mais aussi courant dans l’obscurité des bois, revenant couverte de boue. Nightbitch se souvient de cela depuis l’enfance. Les films corrigent cet oubli à travers les œuvres d’art.

## L’art comme moyen de représenter les autres mères

Les peintures pour l’exposition de Nightbitch ont été créées par l’artiste d’origine chinoise Junyi Liu (刘俊仪), qui a déclaré qu’elle crée des mondes oniriques et irréels, mais qui proviennent de la réalité. C’est ce que Nightbitch fait aussi : trouver un moyen de représenter – de voir – les autres mères. C’est l’acte qui amène son mari à comprendre, presque trop tard, ce qu’elle ressent, ce dont elle est capable en tant qu’artiste, et ce dont elle a besoin de sa part. L’artiste visuelle Madeline Donohue se concentre sur la maternité malgré le fait qu’on lui a dit à l’école d’art que personne ne voulait le voir, en se représentant elle-même dans des peintures acrobatiques et vibrantes d’enfants faisant des saltos avec leur mère. Elle m’a récemment dit : « Si vous trouvez un moyen de vous représenter dans votre art, vous réussirez. » Je l’ai noté.

## La dualité de la maternité et de l’art

Parfois, je ressens que la maternité est comme conduire une voiture et dire, « Cheval ! Par la fenêtre ! » et l’enfant à l’arrière pleure parce qu’il était trop lent et ne l’a pas vu – mais vous êtes en fait à la fois la mère et l’enfant, incapable de concilier vos multiples identités. Dans les temps d’après, vous voyez tout, dans les moindres détails, et il est difficile de revenir au cadre étroit de l’enfance.

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Le monde de Nightbitch avec son fils implique de s’asseoir sur le trottoir pour regarder le camion poubelle arriver, de rester debout au parc, et de s’éloigner progressivement. L’art est le moyen de trouver un angle de vue qui capture différentes perspectives, de combler le faux fossé entre une identité et une autre, de permettre que plusieurs choses soient vraies. La mère est une mère jusqu’à ce que l’artiste trouve en elle quelque chose d’autre. Les œuvres d’Heller en témoignent ici.

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