Les critiques littéraires les plus acerbes de 2024

Les critiques littéraires les plus acerbes de 2024

Les critiques littéraires les plus cinglantes de 2024

Ho, ho, ho, espérons que vous avez apporté un appétit pour la destruction, car nous avons des critiques acerbes à vous offrir en cette saison des fêtes.

Parmi les livres passés à la moulinette cette année : le mémoire truffé de clichés de Melania Trump, le dernier ouvrage de mauvais réalisme magique de Haruki Murakami, la satire maladroite de Lionel Shriver, et l’extension de marque creuse de Malcolm Gladwell.

Alors les voici, dans toute leur merveille blessante : les critiques littéraires les plus cinglantes de 2024.

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La critique de Melania Trump par Naomi Fry

Naomi Fry dépeint Melania Trump comme un personnage essentiellement insaisissable, offrant une critique acerbe de son mémoire Melania dans lequel elle souligne le manque de profondeur et de révélation.

–Naomi Fry pour The New Yorker

La critique de Haruki Murakami par Alex Preston

Alex Preston dénonce le dernier ouvrage de Haruki Murakami, le qualifiant de mauvais réalisme magique manquant à la fois de magie et de réalisme, le reléguant aux rangs des livres adolescents embarrassants.

–Alex Preston pour The Observer

La critique de Kristi Noem par Ron Charles

Ron Charles critique vivement le récit de Kristi Noem, soulignant son manque de profondeur et son recours à des maximes conservatrices usées, tout en soulignant un moment de récit puissant mais isolé.

–Ron Charles pour The Washington Post

La critique de Lionel Shriver par Laura Miller

Laura Miller dépeint le dernier roman de Lionel Shriver, Mania, comme une satire maladroite manquant de discernement et de précision, soulignant le besoin d’une approche plus audacieuse et intelligente.

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–Laura Miller pour The New York Times Book Review

La critique de RuPaul par Saeed Jones

Saeed Jones dévoile les contradictions et les prétentions de RuPaul dans son mémoire, soulignant un manque de profondeur et une tentative de se présenter comme une figure empathique sans réellement comprendre les marginaux.

–Saeed Jones pour The New York Times Book Review

La critique de Garth Risk Hallberg par Dwight Garner

Dwight Garner critique le roman de Garth Risk Hallberg, le qualifiant d’inégal et épuisant, soulignant un manque de dynamisme et une écriture intense qui provoque des maux de tête.

–Dwight Garner pour The New York Times

La critique de Garrard Conley par Tom Crewe

Tom Crewe critique le livre de Garrard Conley, soulignant un manque d’action et de profondeur dans l’analyse des personnages, déplorant un désert de prose dépourvu de vie et d’imagination.

–Tom Crewe pour The New York Times Book Review

La critique de Lauren Oyler par Becca Rothfeld

Becca Rothfeld dénonce le livre de Lauren Oyler, soulignant un manque d’intérêt pour la compréhension des phénomènes populaires et une écriture qui peine à convaincre, qualifiant le tout de marque de vie insipide.

–Becca Rothfeld pour The Washington Post

La critique de Sally Rooney par Ann Manov

Ann Manov critique le dernier roman de Sally Rooney, soulignant un monde plaisant mais dépourvu de contenu, mettant en lumière une représentation superficielle des problèmes contemporains.

–Ann Manov pour Times Literary Supplement

La critique de Ruth Whippman par Jessica Winter

Jessica Winter critique le livre de Ruth Whippman, soulignant une vision fataliste et conservatrice, déplorant une mentalité de rareté qui déforme la vie civique et sociale.

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–Jessica Winter pour The New Yorker

La critique de Miranda July par Jessa Crispin

Jessa Crispin dénonce le livre de Miranda July, soulignant un manque de profondeur et de contenu, qualifiant l’ensemble d’annonce publicitaire étendue pour un spa de luxe.

–Jessa Crispin pour The Telegraph

La critique de Tom Selleck par Hadley Freeman

Hadley Freeman critique le mémoire de Tom Selleck, soulignant un manque d’auto-révélation et de potins, qualifiant le tout de lecture insatisfaisante et dénuée d’intérêt.

–Hadley Freeman pour The Times

La critique de Malcolm Gladwell par Anand Giridharadas

Anand Giridharadas critique Malcolm Gladwell pour avoir étiré une fois de plus son concept de The Tipping Point sans apporter de nouvelles idées, soulignant un manque de profondeur et de vérités essentielles.

–Anand Giridharadas pour The New York Times Book Review

La critique de Kara Swisher par Edward Ongweso Jr.

Edward Ongweso Jr. dénonce Kara Swisher pour son manque de critique véritable envers la Silicon Valley, soulignant un manque de morsure et une proximité avec l’industrie technologique.

–Edward Ongweso Jr. pour The Baffler

La critique de Gabriel Garcia Marquez par Michael Greenberg

Michael Greenberg critique Gabriel Garcia Marquez pour son dernier ouvrage peu satisfaisant, soulignant un manque de profondeur et de création, mettant en lumière une imitation de soi-même décevante.

–Michael Greenberg pour The New York Times Book Review

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Vous voulez revivre les critiques cinglantes des années précédentes ?
Retrouvez les critiques les plus acerbes des années 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022 et 2023

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