Sept livres de poésie à découvrir en novembre. De la forêt fantomatique à "Zombie Vomit Mad Libs".

Sept livres de poésie à découvrir en novembre. De la forêt fantomatique à « Zombie Vomit Mad Libs ».

As we transition from Halloween to election day, the poetry collections featured in this article offer a mix of spooky and thought-provoking themes. Titles like « Zombie Vomit Mad Libs, » « The Ghost Forest, » and « Field Guide to Accidents » add to the intrigue of November 2024.

While these collections may contain playful titles and themes, they also delve into deeper subjects such as loss, deportation, and the impact of war. The poems touch on Filipino-American experiences, folklore, and personal histories, creating a rich tapestry of emotions and reflections.

As the year comes to a close, the column acknowledges the contributions of David Woo and looks forward to welcoming Christopher Spaide in the new year. The featured poets, including Albert Abonado, Traci Brimhall, Duy Đoàn, and Kimiko Hahn, each bring a unique perspective and poetic style to their work.

From the exploration of cultural identity in Abonado’s « Field Guide for Accidents » to the themes of renewal and motherhood in Brimhall’s « Love Prodigal, » these collections offer a diverse range of experiences and emotions. Đoàn’s « Zombie Vomit Mad Libs » pushes the boundaries of language play and form, while Hahn’s « The Ghost Forest » showcases her mastery of various poetic forms.

Overall, November 2024 presents a compelling lineup of poetry collections that are sure to captivate readers and leave a lasting impact.

Exploration poétique à travers des collections diverses

Dans une section de son livre, Hahn souligne à ses lecteurs avec une touche intime qu’elle est en train de curer ce livre pour eux en disant « Je pensais que mon Chemin étroit serait mon exploration, pas des modèles à suivre pour les autres. »

VOIR  Eugene et Dan Levy : Découvrez les animateurs des Emmy Awards 2024 !

Que ce soit dans ses échanges avec les traductions précédentes du « Chemin étroit vers l’intérieur » de Basho ; avec des poètes et écrivains des XIXe et XXe siècles (voir les nouveaux poèmes) ; ou avec des articles de la section Science du New York Times – voir les poèmes de « Fièvre cérébrale » (2010) et « Flore toxique » (2010) – le « jeu formel » de Hahn, comme le mentionnent les notes de la section, prospère à partir de l’origine de la curiosité devenue fascination.

La conclusion de « Le toxicologue à la maison » dit : « Alors je ne me retourne pas à l’intérieur / Je passe d’une chose à une autre. Je désire être une étoile de mer couronne d’épines / pour affronter ce qui ne peut être vu. »

Exploration poétique à travers différentes perspectives

Aditi Machado, avec son recueil « Témoin matériel », nous hante avec des poèmes pleins d’esprit et de stratégie discursive. Les poèmes se répondent les uns aux autres, créant une dynamique unique et captivante.

Oksana Maksymchuk, dans « Ville immobile », nous plonge dans un monde de guerre perpétuelle, où la normalité se confond avec l’ennui et la préparation devient une nécessité absurde. Les poèmes révèlent la brutalité de la guerre à travers des images saisissantes et des questionnements poignants.

Eduardo Martínez-Leyva, avec « Cowboy Park », explore le désir queer à travers une lyrisme magnifique et des portraits familiaux poignants. Les poèmes révèlent des luttes intérieures et des moments d’intimité brisée, créant un recueil remarquable.

Leave a Reply